"La communication ainsi que la culture générale restent les moyens les plus efficaces pour construire notre avenir.
Alors comment faire pour faciliter ce désir de renouer l'ensemble des partis ? Comment réduire la fracture numérique et afin que chacun puisse s'exprimer?
Pour ma part le plus souvent nous devons faire face à des lenteurs administratives, alors qu'ici l'enjeu repose sur la fluidité, la simplicité, la rapidité de l'engagement et la capacité à rendre compte des élus (collectivités) sur les choix qu'ils effectuent.
Dans ce vent de transformation numériques des territoires et d'innovation urbaine surnommée "la ville intelligente", un modèle lancé depuis l’essor du numérique dont la dynamique repose sur l’utilisation des technologies de l’information et de la communication.
La Smart city est une ville efficace dans le partage des informations, durable et agréable grâce à un panel de services attractifs. Elle met en œuvre une gestion des infrastructures communicantes, adaptative pour améliorer la qualité de vie des citoyens mais également pour défendre le respect de l'environnement. La Smart city touche six domaines clé dans la construction de son intelligence: l'habitat, le mode vie, l'économie, la mobilité, l'environnement et l'administration.
Prenons un exemple concret la mobilité électrique. En effet un mythe se répand de plus en plus : celui du véhicule électrique avec son installation de bornes électriques , voiture propre et zéro émission. Grâce à l'électricité, la pollution atmosphérique dans nos villes s'améliorera , les émissions de gaz à effet de serre diminueront et le climat sera en partie sauvé. Fini les pics de pollution !
La fin d'une époque avec le 100% pétrole. Nous touchons à la fois à la santé des personnes et à la protection de l'environnement: ce sont autant d'arguments tangibles pour convaincre l'ensemble de nos dirigeants, citoyens et entreprises. Nous importons en moyenne pour 60 milliards d'euros de pétrole par an, dont la moitié sert à alimenter nos réservoirs. Pour les citoyens le constat reste le même, le carburant pèse de plus en plus lourd dans le budget et par conséquent réduit leur pouvoir d'achat.
A ceci on superpose les enjeux de santé.
D'après plusieurs études notamment l'institut national de veille sanitaire (INVS), une personne citadine vie en moyenne 4 mois de moins à cause des pollutions atmosphériques liées en partie au carburant facteur aggravant pour les maladies pulmonaires et cardio-vasculaires. Toujours d'après cet institut, ces maladies génèrent chaque année 5 milliards d'euros de dépenses.
C'est une des nombreuses pistes pour diminuer les dépenses et donc accroître les investissements.
Nous pourrions également proposer des installations de bornes électriques au premier étage des parkings. Cela changerait aussi la mentalité des citoyens. Il ne faut pas oublier que le parc français a une particularité qui pourrait permettre au véhicule électrique de se développer plus vite que prévu. Si nous prenons la part des ménages aujourd'hui en moyenne ils ont deux véhicules. En changeant un de leurs deux véhicules pour un véhicule électrique ces foyers garderaient de l'autonomie pour leurs voyages exceptionnels et pourraient faire ce choix sans sacrifier leur mobilité.
En agissant ainsi, c'est un marché d'environ 10 millions d'automobiles qui se profilerait et donc ce qui pourrait constituer 25 à 30 % du parc automobile des ménages d'ici 2030.
Certes l'ensemble des ménages ne fera pas ce choix mais en ajoutant les autres cibles de ventes (transports en commun' Vélib , auto partage…) l'électrique pourrait prendre une nouvelle place dans ce monde.
Ceci dépendrait également de la qualité des offres des constructeurs et de leur capacité à baisser les prix au fur et à mesure de la réduction des bonus.
L'analyse de nouveaux modèles économiques comme l'auto partage est cruciale pour comprendre le parc automobile de demain. La tendance actuelle tend à penser que la voiture sera de plus en plus consommée comme un service, au lieu d'un bien personnel.
La transition énergétique, le véhicule connecté autonome et l'évolution des réseaux sociaux n'annoncent pas la fin de la filière automobile française.
Bien au contraire, c'est un extraordinaire réservoir pour l'innovation qui pourrait permettre aux constructeurs de tirer leur épingle du jeu s'ils acceptaient de proposer des services de mobilité plutôt que de vendre des voitures.
Le Groupe SPIE s'inscrit dans ces enjeux de la ville. il met en évidence les défis ainsi que les opportunités générés par l’urbanisation afin de repenser la ville et son environnement mais également en adéquation avec les besoins et le vécu des citoyens.
Aujourd'hui Le Groupe SPIE propose une solution de clé en main avec la mise en place d'une supervision ORIOS qui permet de gérer l'ensemble des demandes des collectivités ainsi que des citoyens.
Nos défis sont :
- la croissance de la population avec allongement de son espérance de vie.
- Optimisation des investissements et donc réduction des dépenses.
- Gestion des eaux et déchets
- Réchauffement climatique
- Évolution des usages.
Nos Opportunités sont :
- Concentration des richesses
- Transition énergétique
- Développement économique
- Qualité de la vie
- Déploiement des technologies du numérique
Tony Canadas est passionné par le sujet, intarrissable d'arguments en faveur d'une ville intelligente et démocratique. "Avec des citoyens qui s'engagent pour améliorer leur ville et des élus et des entreprises à leur l'écoute, on peut imaginer que le résultat serait une ville plus accueillante et donc plus attractive .
Une ville dans laquelle les citoyens prendraient en charge eux-mêmes l'amélioration de leur quotidien.
Une ville meilleure, pour une vie meilleure, un pari osé que je souhaite faire partager .
Le but avec ce projet est de renouer l'ensemble des partis avec mes propres moyens notamment par ma page Facebook "le citoyen moderne" ou les médias sociaux.
Mais également de faire partager des engagements et des actions à travers mon expérience"
Ci après, vidéo d'un acteur français qui agit pour faire circuler cette énergie positive sur les territoires